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11septembre2001

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debat ouvert sur les incohérences de la version officielle concernant les attentats du 11 septembre 2001 à New York

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11septembre2001

L'ANALYSE DU GENERAL LEONID IVASHOV SUR LE 11 SEPTEMBRE 2001

Le général Leonid Ivashov en compagnie du journaliste Christopher Boll
Le général Leonid Ivashov en compagnie du journaliste Christopher Boll 
Le général Leonid Ivashov était le chef d’état-major des armées russes au moment des attentats du 11 septembre 2001. Ayant vécu les événements de l’intérieur, il nous en donne une analyse très différente de celle de ses homologues états-uniens.

Si l’on analyse les événements du 11 septembre 2001 aux États-Unis, on peut en tirer les conclusions suivantes :
1. Les commanditaires de ces attentats sont les cercles politiques et les milieux d’affaires qui avaient intérêt à déstabiliser l’ordre mondial et qui avaient les moyens de financer cette opération. La conception politique de cet acte a mûri là où sont apparues des tensions dans la gestion des ressources – financières et autres. Les raisons de ces attentats doivent être recherchées dans la collision des intérêts du grand capital au niveau transnational et global, dans les cercles qui ne sont pas satisfaits par les cadences du processus de globalisation ou par la direction que ce processus prend.
À la différence des guerres traditionnelles dont la conception est déterminée par des politiciens et des généraux, les initiateurs en furent des oligarques et des politiciens qui leur sont soumis.
2. Seuls les services secrets et leurs chefs actuels ou retraités – mais ayant conservé de l’influence à l’intérieur des structures étatiques – sont capables de planifier, organiser et gérer une opération de telle ampleur. D’une manière générale, ce sont les services secrets qui créent, financent et contrôlent les organisations extrémistes. Sans leur soutien, de telles structures ne peuvent pas exister – et encore moins effectuer des actions d’une telle ampleur à l’intérieur de pays particulièrement bien protégés. Planifier et réaliser une opération de cette échelle est extrêmement compliqué.
3. Oussama ben Laden et « al Qaïda » ne peuvent être ni les organisateurs ni les exécutants des attentats du 11 septembre. Ils ne possèdent ni l’organisation requise pour cela, ni les ressources intellectuelles, ni les cadres nécessaires. Par conséquent, une équipe de professionnels a dû être formée et les kamikazes arabes jouent le rôle de figurants pour masquer l’opération.
L’opération du 11 septembre a changé la marche des événements dans le monde, dans la direction qu’avaient choisie les oligarques internationaux et la mafia transnationale, c’est-à-dire ceux qui aspirent au contrôle des ressources naturelles de la planète, à celui du réseau d’information globale et des flux financiers. Cette opération a aussi joué le jeu de l’élite politique et économique des États-Unis qui aspire également à la domination globale.

L’usage du terme « terrorisme international » vise à remplir les objectifs suivants :
- la dissimulation des buts réels des forces réparties à travers le monde, luttant pour la domination et le contrôle global ;
- le détournement des revendications des populations dans une lutte aux buts incertains contre un ennemi invisible ; la destruction des normes internationales fondamentales, l’altération conceptuelle des termes tels que : agression, terreur étatique, dictature ou mouvement de libération nationale ;
- la privation des peuples de leur droit légitime à la résistance armée contre l’agression et à l’action contre l’activité de sape de services spéciaux étrangers ;
- la renonciation à la défense prioritaire des intérêts nationaux, la transformation des objectifs dans le domaine militaire par un glissement vers la lutte contre le terrorisme, la violation de la logique des alliances militaires au détriment d’une défense conjointe et au profit de la coalition antiterroriste ;
- la résolution des problèmes économiques par voie d’une contrainte militaire forte sous prétexte de la lutte contre le terrorisme.

Pour combattre efficacement le terrorisme international, il faut prendre les mesures suivantes :
- confirmer devant l’assemblée générale de l’ONU les principes de la Charte des Nations-Unies et du droit international comme devant être respectés par tous les États ;
- former une union géostratégique de civilisation (peut-être sur la base de l’Organisation de coopération de Shanghai, qui regroupe la Russie, la Chine, le Kazakhstan, la Kirghizie, le Tadjikistan et l’Ouzbékistan.), avec une autre échelle de valeurs que celle des Atlantistes ; élaborer une stratégie de développement des États, un système de sécurité internationale, un autre modèle économico-financier (ce qui signifierait remettre le monde sur deux pieds) ;
- associer (sous l’égide de l’ONU) les élites scientifiques à l’élaboration et la promotion des conceptions philosophiques de l’Être humain du 21e siècle
- organiser l’interaction de toutes les confessions religieuses du monde, au nom de la stabilité du développement de l’humanité, de la sécurité et du soutien mutuel.

 

Auteur
Général Leonid Ivashov

Le général Leonid Ivashov est vice-président de l’Académie des problèmes géopolitiques. Il fut chef du département des Affaires générales du ministère de la Défense de l’Union soviétique, secrétaire du Conseil des ministres de la Défense de la Communauté des États indépendants (CEI), chef du Département de coopération militaire du ministère de la Défense de la Fédération de Russie. Il était chef d’état-major des armées russes, le 11 septembre 2001.

 

Fidel Castro accuse les USA d'avoir menti sur le 11 septembre

 
Selon l'Agence Reuters, Fidel Castro estime que les Etats-Unis ont entrepris une démarche de désinformation en direction des Américains et du monde entier après les attentats du 11 septembre 2001.

Dans une tribune, lue par un présentateur de la télévision cubaine, Castro avance que le Pentagone a été touché par une roquette, et non pas par un avion. Pour étayer son accusation, "El Commandante" affirme qu'on a jamais retrouvé la moindre trace d'un passager.

"On sait aujourd'hui qu'il s'agissait de désinformation", écrit Castro, qui n'est plus apparu en public depuis juillet 2006, date à laquelle il a été opéré pour soigner une hémorragie intestinale. Il a depuis confié les rênes du pouvoir à son frère Raul.

"Si l'on étudie l'impact des avions, comme ceux qui ont touché les Tours jumelles, ou comme ceux qui se sont accidentellement écrasés sur des villes densément peuplées, on peut en conclure que ce n'est pas un avion qui s'est écrasé sur le Pentagone", affirme-t-il.

"Seul un projectile est en mesure d'avoir provoqué ce cratère de forme géométrique qui est soit disant dû à un avion."

"Nous avons été dupés comme le reste des habitants de cette planète", a-t-il jugé.

Dans cette tribune, Castro ne fait aucune référence à Oussama ben Laden ou aux combattants du réseau Al Qaïda comme pouvant être les responsables des attaques du 11 septembre 2001.

 

http://www.lexpress.fr/info/infojour/reuters.asp?id=52948&1606

 

Robert Fisk (Grand reporter) troublé par les incohérences de la version officielle

 

Robert Fisk (né en 1946 est un journaliste anglais, grand reporter et correspondant au Proche Orient du journal britannique The Independant.  Il est qualifié par le New York Times comme « probablement le plus grand reporter britannique à l'étranger ».
Robert Fisk est le correspondent au du quotidien britannique The Independant, basé à Beyrouth Éduqué en Grande Bretagne et en Irlande, Fisk a reçu plus de prix journalistiques (24) que n’importe quel autre grand reporter pour sa couverture de la révolution iranienne, des guerres du Liban, du Golfe, du Kosovo et d’Algérie. Il a reçu le prix Amnesty International en 2000 pour ses reportages en Serbie pendant les bombardements de l’OTAN et le David Watt Memorial Award en 2001 pour sa couverture du Proche Orient.
Spécialiste du Moyen Orient, il a eu l'occasion de rencontrer Oussama Ben Laden à deux reprises dans les années 1990.


Le très réputé journaliste anglais, Robert Fisk, rejoint le "mouvement pour la vérité" à travers un article publié dans The Indépendant  titré : "Moi aussi, je questionne la « vérité » du 11 septembre" :

 

« Epargnez moi les exaltés, épargnez moi les complots. Mais comme tout le monde, j’aimerais connaître la véritable histoire du 11 septembre, à tout le moins parce qu’elle a marqué le déclenchement de la plus folle et dévoyée « Guerre contre la terreur » qui nous a conduit au désastre en Irak et en Afghanistan et dans une grande partie du Moyen Orient. »

Chaque fois que je donne une conférence à l’étranger sur le Moyen Orient, il y a toujours une personne dans l’assistance - une seule - que je nomme « l’exalté ». Toutes mes excuses à tous ceux, hommes et femmes, qui assistent à mes interventions et posent des questions éclairées et pertinentes - qui sont souvent un rappel à l’humilité pour le journaliste que je suis - et qui montrent qu’ils comprennent la tragédie du Moyen Orient bien mieux que les journalistes qui la couvrent. Mais « l’exalté » existe. Il se manifeste à Stockholm et à Oxford, à Sao Paulo et à Erevan, au Caire, à Los Angeles et, dans sa version féminine, à Barcelone. Quelque soit le pays, il y a toujours un « exalté ».

La question qu’il - ou elle - pose ressemble à ceci : pourquoi, si vous êtes un journaliste libre, ne dites vous pas ce que vous savez vraiment sur le 11 septembre ? Pourquoi ne dites vous pas la vérité - que l’administration Bush (ou la CIA, ou le Mossad, faites votre choix) a fait sauter les tours jumelles ? Pourquoi ne révélez-vous pas les secrets qui sont derrière le 11 septembre ? L’hypothèse à chaque fois, c’est que Fisk sait, que Fisk a un bureau bien réel, rempli de dossiers factuels solides et contenant les preuves décisives de ce que « tout le monde sait » (c’est en général la phrase utilisée) : qui a détruit les tours jumelles. Parfois, l’exalté est visiblement angoissé. Un homme à Cork m’a hurlé ses questions et au moment où j’ai suggéré que sa version du complot était un rien étrange, a quitté la salle en vociférant des insultes et donnant des coups de pied dans les chaises.

Habituellement, j’ai tenté de dire la « vérité » ; bien qu’il y ait des questions sans réponses sur le 11 septembre, je suis le correspondant de The Independent au Moyen Orient, et pas le correspondant chargé des conspirations. Que j’ai assez de complots réels sur les bras au Liban, en Syrie, en Iran, dans le Golfe, etc, pour me préoccuper de complots imaginaires à Manhattan. Mon dernier argument - décisif, à mon avis - est que l’administration Bush a raté tout ce qu’elle a tenté de faire au Moyen Orient. Par quel miracle aurait-elle pu commettre les crimes contre l’humanité qui ont eu lieu le 11 septembre aux USA ?

Je m’en tiens aujourd’hui encore à ce point de vue. N’importe quel militaire qui peut affirmer qu’Al Qaida est en fuite - comme les américains l’ont fait il y à deux jours - n’est pas capable de réaliser quoi que ce soit de l’ampleur du 11 septembre. « Nous avons désorganisé Al Qaida, les obligeant à fuir », a déclaré le colonel David Sutherland au sujet de l’opération portant le nom de code -absurde de « Marteau étincelant » dans la province de Diyala en Irak. « La peur qu’ils ont de se confronter à nos forces prouve que les terroristes savent qu’il n’y a plus de repaire sûr pour eux ». Et ainsi de suite, tout ceci n’ayant aucune part de vérité.

Quelques heures plus tard, Al Qaida a attaqué Baquba avec une force de la taille d’un bataillon et massacré tous les cheiks locaux qui avaient tendu la main aux américains. Cela me remémore le Vietnam - une guerre que George bush a observée depuis le ciel du Texas - ce qui peut expliquer pourquoi il a mélangé cette semaine la fin de la guerre du Vietnam avec le génocide au Cambodge, dont la population a finalement été sauvée par ces mêmes vietnamiens que les frères d’armes de Bush, plus courageux que lui, avaient combattu si longtemps.

Mais nous y voilà. Je suis de plus en plus troublé par les inconsistances dans la version officielle du 11 septembre. Il ne s’agit pas uniquement des incohérences évidentes : où sont les débris des avions (moteurs, etc) de l’attaque du Pentagone ? Pourquoi les officiels qui ont été impliqués dans le vol United 93 (qui s’est écrasé en Pennsylvanie) ont été muselés ? Pourquoi les débris du vol 93 se sont dispersés sur des kilomètres alors que l’avion est censé s’être écrasé en entier dans un champ ? Encore une fois, je ne parle pas ici des « recherches » démentes d’un David Ickes [1] au Pays Merveilles et du désastre du World Trade Center - qui devraient donner à n’importe quel homme sensé l’envie de lire plutôt l’annuaire téléphonique.

Je parle de problèmes scientifiques. S’il est vrai, par exemple, que le kérosène brûle à 820 degrés Celsius dans des conditions optimum, comment les poutres métalliques des tours jumelles - dont le point de fusion est à 1480 degrés - pourraient céder au même moment ? (Elles se sont effondrées en 8,1 et 10 secondes) Qu’en est-il du troisième building - le building numéro 7 du World Trade Center, aussi nommé Salmon Brothers building (WTC7)- qui s’est effondré sur lui-même en 6,6 secondes à 17 heures 20 le 11 septembre ? Pourquoi s’est-il effondré de façon si nette alors qu’aucun avion ne l’avait heurté ? Le National Institute of Standards and Technology américain a été chargé d’analyser la cause de la destruction des trois bâtiments. Il n’a pas encore remis son rapport sur le WTC7. Deux professeurs américains en ingénierie mécanique réputés - définitivement pas du genre « exalté » - ont entamé une procédure contestant les conclusions de ce rapport, en se basant sur le fait qu’il pourrait être « frauduleux ou mensonger. »

Du point de vue journalistique, il y a eu de nombreuses choses étranges autour du 11 septembre. Les comptes rendus initiaux de journalistes disant qu’ils avaient entendu des « explosions » dans les tours - qui pourraient avoir été les craquements des poutres - sont faciles à écarter. C’est moins le cas pour l’information selon laquelle le corps d’une femme membre de l’équipage a été retrouvé avec les mains liées dans une rue de Manhattan. OK, acceptons qu’il se soit agi simplement du compte rendu d’un on-dit. Au même titre que la liste des pirates-suicide établie par la CIA qui incluait trois hommes qui étaient - et sont toujours - bien en vie et résident au Moyen Orient, était une erreur initiale des services de renseignement.

Mais qu’en est-il de l’étrange lettre attribuée à Mohammed Atta, le pirate-assasin au visage inquiétant, dont les conseils « islamiques » à ses abominables comparses - publiés par la CIA - ont abasourdi tous mes amis musulmans du Moyen Orient ? Atta y parle de sa famille, ce qu’aucun musulman aussi mal élevé soit-il ne mentionnerait vraisemblablement dans une telle prière. Il rappelle également à ses compagnons-de-crime de réciter la première prière du jour et poursuit en la citant. Mais aucun musulman n’aurait besoin d’un tel rappel, et s’attendrait encore moins à trouver le texte de la prière « Fajr » dans la lettre d’Atta.

J’y insiste. Je ne suis pas un théoricien des conspirations. Epargnez moi les exaltés, épargnez moi les complots. Mais comme tout le monde, j’aimerais connaître la véritable histoire du 11 septembre, à tout le moins parce qu’elle a marqué le déclenchement de la plus folle et dévoyée « Guerre contre la terreur » qui nous a conduit au désastre en Irak et en Afghanistan et dans une grande partie du Moyen Orient. Karl Rove, le conseiller qui, heureusement, vient de quitter Bush, a déclaré un jour « nous sommes un empire, désormais - nous créons notre propre réalité ». Vrai ? Au moins dites le nous. Cela pourrait mettre un terme à l’envie qu’ont certains de taper dans des chaises.

 

 

Pour rappel, un nombre croissant de personnalités, d’officiers supérieurs de l’armée des Etats-Unis, d’agents du renseignement, d’hommes politiques et d’universitaires rejoignent le mouvement pour la verité et sont recensés sur le site Patriots Question 9/11.

 

 

REPONSE DU PROFESSEUR DAVID RAY GRIFFIN AU MONDE DIPLOMATIQUE

 

La version gouvernementale du 11 Septembre EST la vraie diversion par David Ray Griffin

L’évolution de la jurisprudence française permet désormais aux grands médias de refuser de publier les réponses des personnes qu’ils mettent en cause sans crainte d’être sanctionnés par les tribunaux. Ce déséquilibre dénature la liberté d’expression et fausse le débat démocratique. Aujourd’hui, une réponse du professeur David Ray Griffin au Monde diplomatique, que la revue a refusé de publier.

L’article de M. Cockburn, « Le complot du 11 septembre n’aura pas lieu », publié dans Le Monde diplomatique de décembre 2006, est une attaque en règle contre le mouvement pour la vérité sur le 11/9 []. Il est erroné sur pratiquement tous les points.
Il me présente comme l’un des « grands prêtres » de ce mouvement, comme s’il s’agissait d’un mouvement religieux, plutôt que d’une force basée sur les faits et qui regroupe des scientifiques, des ingénieurs, des pilotes, des vétérans de guerre, des philosophes, d’anciens contrôleurs aériens, d’anciens hauts responsables de la Défense et des analystes ayant quitté la CIA [ ].
Il nous appelle des « adeptes de la théorie du complot », ignorant le fait qu’en défendant la version gouvernementale, il défend la théorie officielle du complot du 11/9.
En déclarant que l’administration Bush et les militaires sont trop incompétents pour avoir organisé les attentats du 11/9, il présente un argument qui pourrait aussi bien être utilisé pour prouver qu’ils n’auraient pu organiser les invasions militaires en Afghanistan ou en Irak.
En prétendant qu’Ossama Ben Laden a revendiqué les attentats, Cockburn semble ignorer que dans la vidéo de la prétendue confession de ben Laden est une fabrication [ ], et que selon un porte-parole du FBI : « Le FBI ne dispose pas de preuves tangibles permettant de relier Ben Laden au 11 Septembre. » [ ]

Après avoir présenté les membres de ce mouvement comme des « adeptes du complot », M. Cockburn épouse lui-même la version gouvernementale sur les effondrements des Tours Jumelles, qui ne peut être soutenue qu’en ignorant un nombre considérable de faits.
Loin d’être « mal construites », les tours furent conçues pour résister virtuellement à toute éventualité, y compris la percussion par de gros avions de ligne.
En rejetant la possibilité que des charges explosives aient pu être disposées, M. Cockburn ne tient pas compte du fait que 118 membres du Fire Department de New York témoignèrent que des explosifs détonèrent [ ]. (J’ai cité 31 d’entre eux, dans un essai intitulé Explosive Testimony [ ]. )
La version officielle à propos de ces bâtiments, que défend M. Cockburn est contredite par toute l’histoire des incendies catastrophiques sur des immeubles partageant la même architecture à structure d’acier : un effondrement total de ce type de gratte-ciel n’a jamais été causé par des dommages externes et/ou un incendie, même quand ces incendies furent bien plus intenses et durèrent beaucoup plus longtemps.

Plusieurs caractéristiques des effondrements de ces tours ne peuvent pas être expliquées autrement que par l’utilisation d’explosifs :
- 1. Ils furent symétriques et parfaitement verticaux, ce qui signifie que chacune des 287 colonnes dans chacune des tours (les 47 énormes colonnes centrales et les 240 colonnes du périmètre) et chacune des 81 colonnes de l’immeuble n°7 durent s’effondrer simultanément. Croire que cela ait pu être causé par les incendies, qui ne s’étaient pas propagés uniformément, dans aucun des bâtiments, est croire à un miracle.
- 2. Les effondrements furent totaux, chacun des 3 gratte-ciel s’écroulant en un tas de gravas de quelques étages seulement. Ainsi, chacune des colonnes d’acier a dû être coupée en de très nombreux segments, exactement ce à quoi servent les explosifs employés au cours de démolitions commandées.
- 3. Tout le béton, comme le mobilier, fut pulvérisé en particules de poussières extrêmement fines (les immenses nuages observables). Les incendies et la seule pesanteur n’auraient pu fournir l’énergie nécessaire à cette pulvérisation, loin s’en faut.
- 4. Au début de l’effondrement de chacune des Tours Jumelles, qui commença près du sommet, des poutrelles d’acier furent éjectées horizontalement jusqu’à 150 m. L’énergie gravitationnelle, verticale, ne peut expliquer ces éjections horizontales impressionnantes.
- 5. Chacun des 3 immeubles s’effondra à la vitesse de la chute libre ; cela signifie que les étages inférieurs, avec tout l’acier et le béton qui les composaient, n’opposèrent absolument aucune résistance (à la chute des étages supérieurs). M. Cockburn écrit encore : « Le recours à l’hypothèse des charges explosives n’est absolument pas nécessaire pour comprendre la chute accélérée des tours… » Cette assertion est en complète contradiction avec les lois les plus élémentaires de la physique.
- 6. Pendant plusieurs semaines après les effondrements, des flaques de métal fondu furent trouvées sous chaque bâtiment. L’acier ne commence à fondre qu’à partir de 1 540°C, alors que la température des incendies ne peut pas avoir dépassé les 1 000°C [ ].
L’effondrement de l’immeuble n°7, « non percuté par un avion », reproduit lui-aussi les caractéristiques classiques des démolitions commandées.

Bien que je me sois concentré ici sur le World Trade Centre, les preuves abondent qui remettent en question presque tous les autres aspects de la version officielle des événements ; je les ai présentés dans « Le nouveau Pearl Harbor » et Omissions et manipulations de la commission d’enquête sur le 11/09. Dans ce dernier livre, j’ai montré que le rapport de la Commission contient au moins 115 mensonges par omission ou manipulations [ ].

M. Cockburn ne semble pas vouloir examiner ces preuves parce qu’il est convaincu que les efforts tendant à démontrer que le 11/9 est un « complot intérieur » sont une perte de temps et un détournement d’attention sur des sujets vraiment importants. Cependant, si le 11/9 fut vraiment orchestré par certaines factions à l’intérieur du gouvernement états-unien, qu’est-ce qui pourrait alors être plus important que de le démontrer en se basant sur des faits ? L’idée que l’Amérique fut attaquée par des terroristes étrangers le 11 Septembre a été instrumentalisée pour servir de justification à la guerre d’Irak et de mille autres façons : le résultat est que les États-Unis ont rendu le monde bien plus dangereux depuis le 11/9.
Cela a également été utilisé pour détourner notre attention du problème du réchauffement climatique, qui est une menace réelle et sérieuse pesant sur l’humanité. En d’autres termes, la version (conspirationniste) officielle sur le 11/9, est la vraie diversion.

DAVID RAY GRIFFIN
David Ray Griffin, éminent universitaire maintenant à la retraite, a enseigné la philosophie des religions à la prestigieuse université de Claremont en Californie. Au cours de sa carrière, il a publié une trentaine de livres, dont le récent 9/11 and American Empire : Intellectuals Speak Out, en collaboration avec Peter Dale Scott (Olive Branch, Northampton, Massachussets, 2006).
Il vient de terminer Debunking 9/11 Debunking : An Answer to Popular Mechanics and Other Defenders of the Official Conspiracy Theory.

 

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